Que dança que não se dança?: Os devaneios voltados para a infância em canções, de Mario Quintana

Abstract

Ce travail est guidé de la réflexion à partir du thème des rêveries d’enfance, tiré de l’œuvre « Canções » (1946), de Mario Quintana. Dans ce travail, il y a une présence d’images en étroite relation avec l’enfance par le chevauchement d’événements et de moments qui révèlent, non seulement, la mémoire individuelle et/ou collective, mais aussi d’événements imaginaires qui acquièrent une valeur universelle, dans la mesure où ils interagissent avec la sublime magie qui enchante les puérils souvenirs d’enfance et qui touche le lecteur dans ce qu’il y a de plus profond et d’innocent de ses expériences (ré) inventées. Dans les versets de Quintana, en particulier dans l’œuvre « Canções », les mots se transmutent en images qui assument la grandeur des symboles. Ils cessent d’être de simples « entrées de dictionnaire », pour se revêtir d’une dynamique créatrice de rêve, de rythme et de beauté: d’imagination. C’est dans ce contexte que nous irons percevoir les rêveries axées sur l’enfance comme un moyen de changer le présent et de (re) inventer un passé (existant) à travers la poésie. Cette matière vivante qui apporte avec elle, l’avenir de l’homme, les réponses, ou du moins, les questions qui ouvrent la source de l’être et de l’existence humaine.